Hier, Sigur Rós était en concert à Rome pour une des dernières dates de Rock In Roma, festival romain qui a l’originalité de ne pas se dérouler sur un ou quelques jours, mais de s’étaller sur juin et juillet. La décision s’est faite à la dernière minute, suite à un email de Bandsintown, on peut appeler cela un achat compulsif de dernière minute ;)
Par un 30,5°C à passé 21h, nous sommes arrivés à l’Ippodromo delle Capannelle pour un début de set 45 minutes plus tard. Dans l’attente, j’ai fait part de mon appréhension du concert à Francesca, je n’étais pas certains que le style éthéré, atmoshphérique, aérien de Sigur Rós fasse beaucoup d’effet en open-air, avec les gens constamment en train de parler (quelle plaie ça).. Bref.
Cette appréhension sera ma première claque de punition, bien à plat, pour avoir osé douter! D’où le titre de ce billet. La deuxième sera simplement la bonne claque amicale d’un concert absolument sublime, surprenant, sauvage dans l’expérimentation musicale et visuelle.
Je ne fais pas ici une chronique de concert, donc je passe sur les détails qui me seraient impossible à décrire. Je dirai juste que pour notre premier concert de Sigur Rós, cela a été un enchantement. La musique bien sur, mais le show visuel également, indissociable du groupe avec ses vidéos éthérées, pour la plupart abstraites multipliant les dimensions d’émotions ressenties durant une telle soirée.
Setlist :
1. Yfirborð
2. Brennisteinn
3. Glósóli
4. Vaka
5. Ísjaki
6. Sæglópur
7. Olsen Olsen
8. Hrafntinna
9. Varúð
10. Hoppípolla
11. Með Blóðnasir
12. Kveikur
13. Festival
Rappel :
14. Svefn-g-englar
15. Popplagið